Pendant les vacances de Pâques 2025 nous sommes allé-es visiter la ville de Saintes a une heure et demi en voiture mais à quasi trois heures en train.
Le plus connu de Saintes c’est ses arènes gallo-romaines.
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et l’Arc de Germanicus car, c’est difficile à se l’imaginer aujourd’hui, Saintes fut une ville très importante à l’époque gallo-romaine.
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À côté de l’arc il y a un musée archéologique tout riquiqui.
On logeait à l’Auberge de jeunesse (!) qui est sur le site de l’Abbaye-aux-Dames.
Dans l’église on a apprécié les tapisseries.
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Ce que j’ai le plus apprécié c’est ce recoin ci-dessous que j’ai essayé de photographier… et n’y suis pas arrivé. Zut !
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Juste à côté on trouve un champ de foire moche mais avec deux murs à la gloire de Miyasaki. Merci !
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On sait qu’on est dans une petite ville de province pour deux raisons : on y trouve dans toutes les nombreuses places des arbres immenses sous lesquelles il y a beaucoup, mais vraiment beaucoup, de parking à voitures.
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En se baladant on a vu un jardin à la française sans grand intérêt.
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La cathédrale Saint Pierre vaut surtout pour son extérieur.
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Ce qui m’a surpris c’est le bon état de la statuaire des entrées des églises.
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L’altitude de la basilique Saint-Eutrope impressionne. Du zinc a été rajouté sur les corniches de l’édifice qui a été restauré : on dirait des coups de crayon.
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Sous la basilique se trouve une crypte inquiétante, sombre et gigantesque où il n’y avait personne. Ambiance garantie !
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J’ai remarqué que des bâtiments avaient été construits contre tous les édifices religieux. Ne perdons pas de place !
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Il existe deux musées en plus du minuscule musée archéologique. Le musée de l’Échevinage avec quelques peintures de qualité très différente mais dans un bâtiment ancien avec une terrasse de bar sympa.
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Et le musée Dupuy-Mestreau, un « cabinet de curiosités » où on trouve mille bidules et machins. Le musée que j’ai préféré.
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Las mujeres codiciosas quieren cosechar maridos adinerados.
Mais on était venu à Saintes surtout pour nous balader à pied le long de la Charente.
Mais ce qu’on ne savait pas, et les gens du coin nous on fait comprendre que c’était une banalité, c’est que…
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la Charente a la mauvaise habitude de déborder très souvent (et donc tous les chemins étaient inondés) et que…
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dès qu’on s’éloigne des berges, on ne trouve que des paysages de cultures intensives. Donc pas de randonnées jolies possibles !
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On a donc dû changer notre fusil d’épaule et louer des vélos pour aller de loin en loin dans des communes le long de la Charente..
Première commune :
Taillebourg
Un vieux château qui domine le fleuve et en bas une guinguette à l’ombre, au niveau du petit port.
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Puis :
Port l’Envaux
Activité unique : prendre un verre y grignoter au bord de l’eau : c’est déjà pas mal.
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Ensuite :
Saint-Savinien-sur-Charente
Une commune plus importante, lieu de villégiature.
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Et de loisir.
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